El vendedor de felicidad
IMDb
Réalisateur : Marcel Carné (assistant réalisateur, Jean Vivet)
Scénario : Jacques Emmanuel, Marcel Carné et Marcel Achard.
Dialogues : Marcel Achard
Directeur de la photographie : Philippe Agostini
Décors : Jean-Denis Malclès et Jean Douarinou
Musique : Gilbert Bécaud
Lyrics : Louis Amade et Pierre Delanoë
Son : Jean Bertrand
Scripte : Francine Corteggiani
Montage : Paulette Robert
Format : 35 mm. Couleur (Technicolor) - ratio 1.37:1
Durée : 94 minutes
Date de sortie : 19 octobre 1956, France
Reparto
Gilbert Bécaud : Julien Barrère / Éric Perceval
Françoise Arnoul : Marinette Hardouin
Jean Toulout : Oncle Ludovic
Claude Brasseur : Roland
André Gabriello : le patron de la brasserie
Madeleine Lebeau : la pharmacienne
Gaby Basset : la caissière
Jean-Pierre Bremmer : Michel
Chantal Gozzi : Sophie
Marcel Bozzuffi
Gabrielle Fontan
Jacques Dhery : Le premier sbire
Sinopsis
Éric débarque dans une petite ville de province et découvre qu'il est le sosie parfait de Julien, un pianiste amoureux de la jolie serveuse Marinette.
Le Pays d'où je viens est un film plutôt oublié de Marcel Carné, un des rares à ne pas avoir été édité sous forme de DVD. À la sortie du film, la critique n'était pas tendre. Dans Arts, François Truffaut déplore l'absence de Jacques Prévert au générique et dans Cinéma 56, Gilbert Salachas qualifie le film de « bluette sans prétention, bien racontée dans un style gentiment désuet ». (Wikipedia)
Esta es la (nada) famosa película dirigida por Marcel Carné, que recibió un ultrajante ataque de François Truffaut en la revista Arts (10/31/1956) titulado Le Pays d'où je viens (Marcel Carné), une consternante pochade :
Marcel Carné est un pur technicien, ses vertus relèvent de l'artisanat; la mise en scène est pour lui un travail manuel. Marcel Carné, esprit confus entre tous, n'a jamais su évaluer un scénario, n'a jamais su choisir un sujet.
Ce travail, d'autres longtemps l'ont fait pour lui et pendant des années on nous a offert des films de Jacques Prévert, mis en images par Marcel Carné.
En dépit d'un ou deux échecs, Marcel Carné n'aurait pas dû se séparer de Prévert après Les Portes de la nuit qui n'était pas un si mauvais film après tout.
Marcel Carné, désormais, est condamné à se laisser «rouler » par le premier scénariste venu, car ce n'est pas tous les jours que l'on rencontre un nouveau Jacques Prévert, c'est-à dire un homme capable d'inventer une histoire entremêlant quatre ou cinq actions simultanées avec douze personnages tous agissants qui se perdent et se retrouvent selon une construction dramatique parfaite.
Marcel Carné est un cinéaste très obstiné, très soigneux qui obtient généralement ce qu'il veut obtenir même si cela n'a aucun intérêt. C'est un homme qui met en valeur ce qu'il doit filmer.
Si ce qu'il doit filmer est intelligent, il met en valeur cette intelligence, si c'est idiot, il met en valeur l'idiotie (...). Le problème demeure pour Marcel Carné de trouver des sujets qui lui conviennent et qui ne soient point trop démodés. (KG)
La versión que os presento aqui es un ripeo de la grabación en DVD de la emisión en Cinecinema Classic (Francia) y que corresponde a la copia restaurada por Studio Canal que subió viveanne a KG. Le he sincronizado el audio de la copia que guarda jorobado7 de la emisión de esta película en Canal Sur.
Datos técnicos: Ripeo anamórfico en xvid
Capturas:
Enlace:
Le pays d'oú je viens (Marcel Carné, 1956) DVDRip dual.avi [1.68 Gb]